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mardi 3 juillet 2018



Vous l'attendiez tous, voici la version dématérialisée de votre journal favori : 




Bonne lecture

jeudi 28 juin 2018


Danse Bollywood

Bollywood est le nom donné à l'industrie du cinéma musical indien (de
l’Inde) basé à Mumbai (Bombay). « Bollywood » est une contraction
de Bombay et d'Hollywood. En Occident, « Bollywood » est souvent
utilisé pour désigner le cinéma indien en général. Il désigne un genre
cinématographique qui se caractérise généralement par la présence
de plusieurs séquences chantées et dansées, sur fond de comédies
musicales. 




Les danses « Bollywood » sont très variées. Il s'agit d'un
mélange de genres qui s'inspirent à la fois de danses folkloriques
et classiques comme le bhangra, le bharata natyam, les danses de
courtisanes, le kathak classique, et le tawaif. Depuis les années 2000,
le style chorégraphique a largement évolué et s'est imprégné de
danses modernes occidentales (disco, salsa, hip-hop, break dance),
qui se ressentent dans le rythme de la danse indienne. Contrairement
à la danse indienne classique très codée, extrêmement rigoureuse et
plus lente, la danse Bollywood est une danse rapide qui demande
énormément de coordination dans les mouvements. 


Marie-France Charbonneau

lundi 9 avril 2018

Éleveur ou producteur ?



Loin de moi l'idée d'engager une quelconque polémique avec
qui que ce soit. Mais quand on voit les conditions de vie et les
milliers de bêtes abattues, résultat de l'agriculture industrielle, je
ne peux que donner raison aux végétariens et autres associations
de défense des animaux.

Mais à ceux-là j'aimerais dire de ne pas
nous mettre tous dans le même panier. En effet, celui qui entasse
des animaux dans des hangars est un "producteur ".
Celui qui voit naître, grandir, aller et venir ses animaux dans les meilleures
conditions possibles, celui-là est "éleveur".
Oui mais (me direz-vous) éleveur ou producteur, au bout il y la
mort des animaux ?

Le producteur entasse ses animaux dans des camions direction
l'abattoir industriel où l'animal n'est plus qu'un produit.
L'éleveur a conscience que la mort est l'aboutissement de mois ou d'années
passées auprès de ses animaux, il voudrait pouvoir accompagner
ses bêtes jusqu'au dernier moment, mais la loi lui interdit souvent
de le faire .

C'est pourquoi des éleveurs bravent la loi et abattent
les animaux dans leurs fermes, leurs évitant ainsi le stress
supplémentaire de l'abattoir.
Le producteur recevra un chèque sans savoir où et comment
finiront ses animaux.

L'éleveur saura dire à ses clients combien il a pris soin de ses bêtes.
Et même s'il ne le dit pas toujours avec des mots, il espère que
ses clients sauront apprécier la qualité de la viande, fruit d'une
passion et d'un échange entre l'animal et l'éleveur. Qu'au moins
cela conduise à ne plus cautionner l'agriculture industrielle.

L’espace me manque pour approfondir le sujet, c'est pourquoi je
vous renvoie à un livre très intéressant " Livre blanc, pour une
mort digne des animaux " aux éditions du Palais.

Roger ROUX, maraîcher raisonnable.

vendredi 23 mars 2018

"Vallées solidaires" a besoin de vous !

Votre soutien est important



A Vintimille cet hiver, des jeunes isolés, des familles, des enfants fuyant la guerre ou la misère ont continué à se réfugier sous le pont longeant la rivière; ayant pour seul abri, quelques bâches, de rares tentes, sans eau, souffrant du froid et de conditions d'hygiène indignes. 
Grâce aux dons, l'association Vallées Solidaires continue à apporter son soutien aux associations de terrain pour que les personnes bloquées à la frontière puissent bénéficier d'un repas chaud, d'un peu de bois, de kit hygiène, de vêtements chauds.
Rappelons que les dons ne servent qu'à l'achat de nourriture ou de produits de premières nécessités destinés aux exilés.
Nous vous remercions pour vos dons car sans eux, nous ne pourrions plus honorer nos engagements.
Nous avons également besoin d'un maximum d'adhésions pour avoir une assise locale. 
Nous avons fait en sorte que les principes de l’association ne soient pas clivants afin de recueillir un maximum de soutien.
On compte sur vous pour en parler autour de vous et pour adhérer. 
L'idée est simple: votre nom prénom + coordonnées, 2 euros l’adhésion annuelle contre une info mensuelle par mail.


Vous pouvez vous renseigner en contactant Sandrine au 06.37.15.67.04. et adhérer par chèque à "Vallées Solidaires" La Dorgane 06450 La Bollène Vésubie ou sur notre page Hello Asso à  l'adresse suivantehttps://www.helloasso.com/associations/vallees-solidaires. Vous pouvez également nous suivre sur facebook ValleesSolidaires.
Par avance merci!
Sandrine

mardi 20 février 2018


Consultez dès maintenant la version 
dématérialisée de votre journal préféré :

Le portail vésubien n°39


Bonne lecture !








jeudi 8 février 2018


Doit-on obliger les enfants à terminer leur assiette ?

Vous avez un ou plusieurs chérubin(s) qui chaque
jour vous apporte(nt) joie et bonheur. Mais arrivé
le moment du repas, votre enfant vous en fait voir
de toutes les couleurs !?
Lui qui aimait tant la purée
de légumes, les courgettes et haricots à 1 an, les
rejette catégoriquement 3 ans plus tard... Mais que
se passe-t-il ? Mon enfant devient-il soudainement
capricieux ? Que dois-je faire?
Le forcer, proposer autre chose ? Vous le savez peut-être déjà, mais le phénomène n’est pas nouveau.

Pas de panique !
Au cours du développement de l’enfant, celui-ci est amené à rejeter divers
aliments et notamment, LES LÉGUMES ! (parfois même les fruits). Cette
phase de rejet se nomme « néophobie alimentaire », autrement dit « la
crainte de la nouveauté ». Il en est autrement avec le goût sucré qui est
apprécié de façon innée chez l’enfant.
Observez les mimiques d’un bébé qui
porte un produit sucré à la bouche. Ne baissez pas les bras mais ne forcez
pas votre enfant à terminer son assiette. Cela peut renforcer le dégoût qu’il
ressent envers le plat que vous lui servez. Proposez-lui toujours de goûter,
laissez-lui l’assiette sous les yeux, le temps qu’il se familiarise avec le plat.
Dites-vous que cette phase n’est que temporaire.

Quelques conseils pour diminuer ce temps de néophobie :
- faire participer l’enfant à la préparation du repas afin qu’il puisse visualiser
et découvrir ce qu’il va manger, plutôt qu’un repas préparé, chauffé au
micro-ondes.…
- Privilégier une ambiance de table chaleureuse et éviter certaines phrases
du type : « Mange et dépêche-toi ! », « Moi, à ton âge », « Goûte pour me faire
plaisir ».
- Évitez de grimacer devant un plat. Ça n’a l’air de rien mais l’adulte est un
modèle aux yeux de l’enfant. Montrez-lui que le plat est bon afin de stimuler
son envie de manger.
- Evitez les principes de récompense (un bonbon, un jeu vidéo etc..) /
punition (pas de dessert, pas de télé) en fin de repas. Là encore, l’enfant sera
persuadé que le plat que vous lui servez n’est pas bon pour lui puisqu’on le
récompense ou on le puni en fin de repas !
- Ne transformez pas systématiquement l’aliment rejeté pour qu’il soit selon
vous mieux accepté (ex : courgettes en gratin de courgettes). Le fait que
l’enfant ne puisse pas reconnaître l’aliment peut-être source d’angoisse.
- Réitérez l’expérience autant de fois que possible. Évitez de céder trop
facilement puisque ses goûts vont changer.
Au fur et à mesure de la découverte des saveurs, l’enfant s’habitue et se
familiarise avec certaines d’entre-elles. Il a, tout comme vous, sa propre
histoire avec l’aliment.

Mlle PITTALUGA Marine, diététicienne - nutritionniste